Actualités 2013

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Le pissenlit présenté à la maison de retraite de La Capelle

Le grand maître de la confrérie du pissenlit, Daniel Gibaru, s'est déplacé dernièrement à l'EPHAD, la maison de retraite de La Capelle, afin de faire découvrir les secrets du pissenlit aux pensionnaires.
Il a oeuvré avec Maryse et Valérie, animatrices. Autour de Simone Elizabeth, centenaire, Daniel Gibaru a présenté les produits. Et notamment la salade au lard. La vaillante centenaire, une parisienne, en a d'ailleurs mangé. "Elle a pris cela pour de la bouillie", souligne Daniel.
Les pensionnaires ont ensuite parlé du pissenlit. "Ils connaissaient la houlette, l'outil qui permet de cueillir les pissenlits. D'autres ont parlé des pissenlits à la crème, c'était juste après la guerre, il s'agissait de pissenlits à la béchamel et passés au four", ajoute le Grand maître.
Les autres produits ont été détaillés, comme la moutarde, le vinaigre, la bière ... Dans une joyeuse ambiance des questions ont été posées. Une belle séance, qui a permis à chacun de progresser dans la connaissance de l'autre.
Daniel Gibaru se tient d'ailleurs à la disposition des animateurs de telles ou telles maisons de retraite pour réitérer la même expérience.

   




Daniel Gibaru : "Faire d'Ohis l'égal d'Espelette"

Daniel Gibaru, grand maître de la confrérie du pissenlit, est également un passionné de football. A la suite d'une très belle carrière, il vient de recevoir la médaille d'or de la ligue de Picardie. Cela s'est passé à Amiens, dans les locaux du stade de la Licorne.
Il résume pour nous sa carrière : "J'ai commencé à l'Olympique de Charleville-Mézières, en minimes et en cadets, puis je suis arrivé à Hirson, au CCVHO, puis ce fut Origny pendant trois ans, j'ai enchaîné ensuite avec Saint-Michel, avec lequel j'ai gagné le challenge Marcel-Prévot. En 1973, je suis arrivé à Ohis, où j'ai été joueur, dirigeant, puis président ces dernières années. Enfin, depuis 2000, je suis membre du district de l'Aisne, où, je participe, ou j'ai participé, aux commissions discipline, juridique, évenementiel, coupes. J'ajoute que j'ai reçu les médailes d'or et d'argent de la Jeunesse et Sports".
Le club d'Ohis compte à ce jour une cinquantaine de licenciés. L'équipe première est actuellement cinquième en promotion de première division.
Daniel Gibaru, 3 enfants, bientôt 70 ans, continue : "J'ai été pendant 38 ans chez Valéo, j'y suis rentré contrôleur, pour en sortir responsable de production".
Par rapport à Ohis et à la fête du pissenlit, qui lui forge une sacrée réputation, il affirme : "Par le biais du pissenlit, je veux donner à Ohis la réputation d'Espelette pour le piment !".
On souhaite donc à Ohis de devenir Espelette, célèbre village du Pays Basque, où les touristes défilent en nombre chaque année pour admirer les piments en train de sécher sur les façades des belles maisons basques ...

 




La confrérie intronisée dans la Jurade princière

Récemment, la Jurade princière de Chimay a fêté son 27e chapitre en accueillant comme le veut la tradition ses confréries amies. Ce 27e chapitre de la confrérie gastronomique La Jurade princière de Chimay a réuni une cinquantaine de confréries amies ayant répondu favorablement à l’invitation.
Rassemblées dans un local de l’athénée Royal, les ambassadrices des produits de terroir, dont beaucoup de françaises, ont été emmenées par un cornemuseur au petit théâtre de Mme Tallien du Château princier, lieu bien approprié pour la tenue des chapitres. Et bien sûr, on notait la présence de la confrérie du pissenlit, avec le grand maître Daniel Gibaru. Ce dernier a été invité à ce cérémonial par Jean-Louis Felbacq, vice-président de la fédération des fêtes en Avesnois-Thiérache (Ffat) et organisateur de fêtes à Oisy, comme le troc jardin et la fête des plantes.
En présence de la princesse Élisabeth de Chimay, le grand jurat chancelier, Pierre Salingros, a accueilli tous les participants à cette cérémonie. Dans son mot de bienvenue, il a rappelé les objectifs de la Jurade princière. «LaJurade princière de Chimay a pour objectif de faire découvrir, redécouvrir et mieux connaître le beau pays de Chimay, au travers de plusieurs grands axes. Ces différents thèmes sont l’environnement si caractéristique de la région, son potentiel touristique, sa glorieuse histoire, son fastueux patrimoine monumental, son riche passé culturel, son grand renom musical et bien sûr ses ressources gastronomiques.»
Lors de ce chapitre, trois personnalités sont devenues jurats d’honneur Luc Lust, un responsable sportif bien connu dans la région mais également deux humoristes, Jérôme de Warzée et Bert Kruismans.
Pour tous, le cérémonial a été respecté: l’appel, la lecture d’un texte personnalisé, l’épreuve rituelle de la Trappiste, le serment d’allégeance, l’intronisation, la remise de la plaquette ou de l’épitoge et la signature du livre d’or. Quant à Marie-Jeanne Paroche et Bernard Bienaimé, ils ont été élevés au rang de Grand jurat et la confrérie a accueilli en son sein un nouveau Jurat, Baudouin Petitjean. Ensuite, le refrain du chant de la Jurade a été repris en chœur par toute l’assistance, avant que Pierre Salingros ne clôture le chapitre 2 013. À l’issue du chapitre, tous les 320 confrères gastronomes se sont retrouvés autour d’une excellente table au Roi Soleil à Mariembourg. Un déflié a également eu lieu dans les rues de Chimay.
Le grand maître Daniel Gibaru s'est montré très satisfait de cette belle cérémonie en terre amie, la Belgique.

 




La confrérie à Oisy

La confrérie du pissenlit a participé à la foire aux plantes/troc jardin, organisée à Oisy par l'équipe de Jean-Louis Felbach. Dans le stand, Daniel Gibaru, Grand maître, Charles Kloppenburg, Grand chambellan, ainsi que Dominique Ramelet, ont vendu quelque 110 parts de salade au lard, c'est à dire une soixantaine de kilos. "Nous avons été très bien accueillis par le public et les organisateurs", reconnaît Daniel Gibaru. "Nous avons aussi vendu de la confiture, de la bière, du vin, du vinaigre, de la moutarde, mais aussi des épluchettes pour les légumes. Tout cela prouve la grande fidélité des gens à notre égard", ajoute-t'il. Par ailleurs, les membres de la confrérie ont intronisé deux bénévoles de l'association d'Oisy.

 




Du caoutchouc à partir de pissenlit

En raison de la hausse des coûts de production des caoutchoucs synthétiques ou naturels, l'industrie cherche actuellement à développer la culture d'espèces végétales alternatives, ou complémentaires à l'hévéa.
Après plusieurs essais infructueux de production de caoutchouc à partir du pissenlit caucasien (Taraxacum koksaghyz), l'entreprise Aesculap GmbH a atteint des résultats concluants. Ses chercheurs souhaitent dans un premier temps sélectionner les plants à haut rendement, puis par la suite tester les aptitudes du caoutchouc naturel obtenu pour la fabrication de pneumatiques et d'autres produits en caoutchouc. La possibilité de cultiver le pissenlit caucasien en Europe centrale, où il est adapté aux conditions climatiques et pédologiques, permettrait d'obtenir localement des matières premières de haute qualité, que ce soit du caoutchouc ou de l'inuline.
Ce projet de culture du pissenlit caucasien, intitulé "De la plante sauvage aux matières premières industrielles renouvelables" (Von der Wildpflanze zum nachwachsenden Industrierohstoff - TAKOWIND), est soutenu par le Ministère fédéral allemand de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Protection des consommateurs (BMELV) en partenariat avec l'Agence pour les ressources renouvelables (FNR). L'objectif du projet est d'arriver à augmenter d'ici 2016 la culture du pissenlit caucasien à une échelle agricole.

Source: http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=11897



Enfin une fête des fruits rouges sous un ciel bleu !

Tant attendu après des semaines de pluie et de grisaille, l’astre suprême a brillé à Ohis, au-dessus de la fête des fruits rouges, sur le site du Fond des Rocques.
Une journée ensoleillée, de quoi alimenter un flux permanent de visiteurs pour découvrir cette grande brocante et les stands de fruits rouges.
Fraises, cerises, groseilles, framboises et même myrtilles … Ces fruits furent les rois de la fête.
Les visiteurs ont également fait connaissance avec tous les produits dérivés : pâtisseries préparées par la maison Debouzy, d’Origny-en-Thiérache, ou encore saucissons aux groseilles, une spécialité de la boucherie de l’éleveur à Hirson. Sans oublier les différentes bières aux fruits rouges. Des stands de fruits rouges tenus par Brigitte Bourry et Robert Guillet.
Côté brocante, Daniel Gibaru signalait une cinquantaine d’exposants, bien abrités sous les arbres des chauds rayons du soleil.
Une journée marquée aussi par les prestations de qualité des belles danseuses de Last Dance.
Enfin, faut-il une nouvelle fois le souligner, ce coin est particulièrement agréable. Et cette fête est une belle occasion de lui rendre hommage.




Brigitte Bourry et ses saucissons à la groseille. Robert Guillet était chargé de vendre bières et fruits rouges. Les visiteurs découvrent fruits rouges et bières spécialisées.
Dès 10 heures, Séverine préparait les frites. Antoine, Etienne et Jean-Fabien fidèles serveurs à la buvette. Cueillies le matin même et vendues dans la foulée les fraises de Brigitte !
MLes représentants de l'association du Trèfle à quatre feuilles lors de la brocante. Une brocante dans un joli petit coin qui séduit tout le monde. Daniel Gibaru lors de la présentation des danseuses.
Le charme des danseuses de Last Dance de Landouzy la Ville. Des poses très appréciées du public masculin. Des chorégraphies bien répétées de la part de la part de ces demoiselles.



Toujours des bières à base de fruits rouges

La fête des fruits rouges aura lieu le dimanche 7 juillet, sur les bords de l'Oise à Ohis. Gastronomie, danse, ambiance terroir, champêtre et bucolique, bonne humeur, caractériseront ce rendez-vous estival. Outre les fruits rouges frais, pour les amateurs de bière, il y sera par exemple possible d'acheter des bières, de 6 types différents : fruits des bois, myrtilles, cassis, cerises (ou krik), framboises et castel rouge (avec de la cerise).
On citera aussi les produits de Brigitte Bourry, l'épicière d'Ohis et cuisinière passionnée, avec beaucoup de pâtisseries conçues autour des fruits rouges. Enfin, une belle brocante prendra place sur cet espace bordant la rivière. Il est bien sûr toujours possible de s'inscrire au 03.23.97.91.72.



Annick Bonhomme, amie d'Ohis

Annick Bonhomme est la fidèle animatrice de la marmite, sur les ondes de France Bleu Picardie, une émission qui rassemble tous les amoureux du terroir, des bons produits et de la gastronomie. A ce titre, elle a reçu plusieurs fois Daniel Gibaru, afin de présenter la fête du pissenlit, ainsi que les nombreux produits qui en sont issus. Ce fut encore le cas avant l'édition du 7 avril dernier. Et bien sûr, lors des prochaines émissions, elle ne manquera pas de parler de la fête des fruits rouges, qui aura lieu le dimanche 7 juillet sur les bords de l'Oise à Ohis.



La fête des fruits rouges le 7 juillet

Une nouvelle édition de la fête des fruits rouges se déroulera le dimanche 7 juillet, à Ohis, sur le site de l’ancien moulin autour de l’Oise. Un endroit très appréciable à l’été.
Une fête du terroir qui sera accompagnée d’une brocante, où les emplacements seront gratuits. « Fraises, framboises, myrtilles et groseilles, nous vendrons des fruits rouges frais », indique Daniel Gibaru, organisateur.
La thématique des fruits rouges sera également déclinée à travers des tartes aux fruits rouges, des smoothies ou encore des cupcakes. Des produits vendus et confectionnés par Brigitte Boury, épicière bien connue au village.
« Il y aura aussi de la bière aux fruits rouges », insiste encore Daniel Gibaru. Sur le plan festif, les danseuses de Landouzy-La-Ville, dirigées par Céline Lavenant, animeront cette journée.
Les spectateurs et visiteurs sont donc attendus nombreux. En espérant que le beau temps sera de la partie, ce qui n’était pas le cas l’année dernière…







L'abbé Maurice bénit la salade au lard

Beaucoup de monde samedi soir, dans la petite église d'Ohis, en préambule de la fête du pissenlit, afin d'assister à la messe du pissenlit. Une messe au cours de laquelle la salade au lard a été bénie par l'abbé Maurice. Daniel Gibaru, grand-maître et Charles Kloppenburg, grand chambellan, avaient pour l'occasion revêtu la tenue de la confrérie.
Une messe animée par la chorale des Trois-Roses. Pour cela, Isabelle Renotte a présenté la chanson du pissenlit. Une véritable ode à la plante. En voici quelques extraits : "Avec tout ça que ce soit bien clair, dans le pissenlit, rien ne nui, tout est exquis. Et c'est ainsi que la confrérie du pissenlit, pissenlit, dans un élan gastronomique a révélé aux Thiérachiens et aux gourmets du monde entier : le pissenlit contribue à la santé de l'humanité".



Fête du pissenlit : tout commence par la racine

Agrémentée d'une petite pause (café ...) chez l'ami Alain Ramelet, la préparation de la fête du pissenlit a commencé il y a quelques jours. L'équipe des bénévoles était au grand complet pour enlever les racines de la célèbre plante vivace.
Les pissenlits seront l’ingrédient de base de la salade au lard, qui sera confectionnée en cette fin de semaine. Dans la perspective bien sûr de la fête du pissenlit, prévue ce dimanche à la salle polyvalente d’Ohis.
Une salade au lard que l’on pourra manger sur place ou emporter.
Une salade composée de quelque 200 kilos de pommes de terre, 70 kilos de pissenlit, 40 kilos de lard fumé, 15 kilos de lard gras. «Mais aussi sel, poivre, huile et vinaigre», précise Daniel Gibaru, grand maître de la confrérie, qui ne va certainement en dire plus sur la recette magique ... Vivement dimanche pour apprécier ces saveurs ...



Autour de l'Akène et du pâté

La fête du pissenlit aura lieu à Ohis le dimanche 7 avril. Deux produits y seront particulièrement en vedette: la bière Akène, à la fleur de pissenlit; et le pâté picard, où l’on trouvera quelques arômes de cette même bière.
«A 9°, l’akène est de fort caractère et de couleur ambrée aux reflets dorés, elle tient son intensité de sa fermentation à haute température. Ses arômes d’épices et son amertume soutenue développent en bouche un goût racé très prononcé, rappelant le terroir ohissois», indique le Grand maître, Daniel Gibaru.
Les fleurs de pissenlit sont récoltées dans la pâture du moulin d’Ohis, au pied du Fond des Rocques. La bière a ensuite été brassée à Mariembourg (Belgique), à la brasserie des Fagnes.
Pour le pâté, il s’agit d’une production de la triperie de Luzoir. «c’est un pâté de cochon 100 % Thiérache (issu de l’abattoir du Nouvion), transformé à Laon puis préparé à Luzoir. On y trouvera de l’échalote confite et de l’Akène pour 6 à 8 %.», précise Stéphane Mensuelle, directeur de la triperie de Luzoir.
Depuis une dizaine d’années, de nombreux produits ont été élaborés à base de pissenlit. Ils seront en vente sur le stand de la confrérie ce jour-là.
Dans la salle polyvalente d’Ohis, et sous le chapiteau, prendront place le dimanche 7 avril plusieurs dizaines de producteurs locaux.
On citera entre autres une maraîchère, un producteur de jus de pommes, un apiculteur, un producteur de maroilles, un fabricant de produits apéritif, un spécialiste des vins d’Alsace, un boucher charcutier, un confiseur, une confiturière, un spécialiste des fruits rouges, etc.
On ajoutera également les plats cuisinés de l’institution Saint-Pierre de Fourmies (qui effectue là son retour), les produits spécifiques de l’épicière Brigitte Boury, la confiture de lait de la Franco-argentine.
«Le but de la confrérie est désormais d’affiner les produits déjà créés, d’améliorer la qualité, de soigner leur esthétique», ajoute encore Daniel Gibaru. Un dernier produit vient d’ailleurs de voir le jour: la moutarde à base de pissenlit haché (fabriquée à Durbuy, Belgique).
La fête de pissenlit c’est aussi la salade au lard, 200 à 250 kilos seront fabriqués pour être vendus ce dimanche. Un produit qui donne lieu à un concours de la meilleure recette (renseignements au 03.23.97.91.72).
«Au fil des ans, cette fête est aussi devenue celle des arts», continue Daniel Gibaru. Plusieurs disciplines artisanales ou artistiques seront représentées: la photographie avec Jean-Louis Ridou, un artisan du bois, une spécialiste des perles, etc.



Le pâté à l'akène est arrivé

Stéphane Mensuelle, de la Triperie de Luzoir, et Daniel Gibaru, grand-maître de la confrérie du pissenlit d’Ohis, s’associent pour produire un pâté picard à la bière au pissenlit, en l’occurrence l’Akène.
Les premiers pâtés sont sortis. Ils viennent d'être dévoilés par Daniel Gibaru. Ce pâté bien spécifique sera vendu lors de la prochaine fête du pissenlit, le 7 avril à Ohis, au stand des produits de la confrérie.
Stéphane Mensuelle explique : «Il s’agit d’un pâté de cochon 100 % Thiérache (issu de l’abattoir du Nouvion), transformé à Laon puis préparé à Luzoir. On y trouvera de l’échalote confite et de l’Akène pour 6 à 8 %».
Daniel Gibaru indique de son côté: «Stéphane et moi on fait partie de ceux qui vont de l’avant. La confrérie travaille déjà avec des producteurs locaux: Creuset de la Thiérache Industrie à Origny pour la houlette; Leduc à Sommeron, pour le maroilles lavé à la bière de pissenlit ; Yves Bercet de Neuve-Maison pour le pissenpétillant ; Brigitte Boury, épicière d’Ohis, pour la marpi. Il était donc normal de travailler dans cet esprit-là avec la triperie de Luzoir».
A terme, le but est aussi de faire labelliser ce pâté «Terroir de Picardie». A Luzoir, une boutique Terroir de Picardie est d’ailleurs adjacente aux laboratoires de la triperie.
Dans un proche avenir également, ces deux passionnés de saveurs prévoient de travailler ensemble sur la salade au lard, «Stéphane possède les moyens techniques pour la salade au lard», reconnaît Daniel Gibaru.
Rendez-vous donc le 7 avril pour découvrir ce nouveau produit de la confrérie ...



Rustica et Pays du Nord évoquent la confrérie

C'est un très beau coup que vient de réussir la confrérie du pissenlit. Au même moment, un magazine national bien connu, Rustica, et un magazine régional assez réputé, Pays du Nord, sortent un article sur la confrérie. L'occasion bien sûr d'évoquer la fête qui aura lieu le dimanche 7 avril, à la salle polyvalente d'Ohis.
Dans Rustica, Marina Lempert dresse le portrait de la confrérie, parle de la salade au lard et du maroilles lavé à la bière de pissenlit ; le magazine publie également, notamment, la recette de la gelée de pissenlit et de pommes.
Dans Pays du Nord, Claire Decraene retrace toute l'aventure de cette fête du pissenlit, se dit surprise par la vitalité du grand maître, Daniel Gibaru. Elle parle aussi de quelques piliers de cette effervescence ohissoise, comme Brigitte Boury, épicière du village, célèbre pour ses Marpi, ou Sébastien Huyghe, l'homme du vin, d'ailleurs photographié dans un beau champ de fleurs ... de pissenlit.
Une nouvelle preuve que l'énergie déployée depuis une dizaine d'années pour animer le village de manière intelligente, est reconnue bien au-delà de la Thiérache. Rappelons que l'année dernière, la confrérie avait eu les honneurs de France 5 (Magazine de la santé) et de France 3 Picardie (lors d'un direct à 13 heures).



Du salon de l'agriculture à la fête du pissenlit

Natacha Espinosa, animatrice à la Franco-Argentine, a tenu pendant toute la durée du salon de l'Agriculture le stand de cette entreprise, basée à Sains Richaumont, et qui est spécialisée dans la confiture de lait.
Depuis l’ouverture du salon, Natacha Espinosa a proposé la petite cuillère de dégustation, aux différents parfums, à de très nombreux visiteurs. Le but de ce salon prestigieux n'est-il pas de faire découvrir les produits du terroir. Pour les amateurs de confiture de lait, Natacha sera présente lors de la prochaine fête du pissenlit, ce sera le dimanche 7 avril, à la salle polyvalente d'Ohis. Qu'on se le dise ...



Compte rendu du Biere'nissage

100 personnes au Bière'nissage autour de l'Akène

Beaucoup de monde, de l'enthousiasme, de la joie de vivre. De quoi faire oublier la grisaille de cette fin d'hiver ... Il y avait du monde vendredi soir à Ohis, pour le Bière'nissage autour de l'Akène.
Une initiative sympathique et inédite. C’est la confrérie du pissenlit qui est à l’origine de cette nouveauté, autour de l’Akène, la dernière bière sortie de la brasserie des Fagnes, en Belgique.
Daniel Gibaru, grand maître de cette confrérie, avait toujours rêvé, afin de découvrir un produit du terroir, de mettre sur pied une cérémonie de ce type, L’un de ses copains de marche, Marc Bession, lui a soufflé le nom.

Couleur ambrée

C'est Christian Legrand, célèbre speaker de la fête du pissenlit, qui a ouvert la réception, afin d'accueillir le monde. Daniel Gibaru a alors pris la parole. Il a d’abord retracé le pourquoi de cette manifestation: la découverte de l’Akène, ultime création dans la longue liste des produits issus de la transformation du pissenlit.
Il a résumé les grandes caractéristiques de cette bière: à 9°, elle est de fort caractère et de couleur ambrée aux reflets dorés, elle tient son intensité de sa fermentation à haute température. Ses arômes d’épices et son amertume soutenue développent en bouche un goût racé très prononcé, rappelant le terroir du village d’Ohis.

Une triple

Le grand maître a poursuivi : «Les fleurs de pissenlit sont en effet récoltées dans la pâture du moulin, au pied du Fond des Rocques, le long de l’Oise. L’akène, 100 % naturelle, sans additifs, sans produits chimiques, se déguste entre 8 et 10 degrés. Pour les amateurs de bière, soulignons que l’Akène est une «triple», ce qui est assez rare».
Le jour de la fête du pissenlit, elle sera en vente, au prix de 5,50 euros (comme d’ailleurs les autres bières). Mais, il y aura aussi possibilité de l'acheter avec d'autres bières, brune et blonde, pour un prix un peu moins cher.

Augmentation des taxes

Il y a donc eu une augmentation de prix depuis l’année dernière. Daniel Gibaru justifie cette augmentation par le relèvement de taxes en France. "Cela a fait mal quand je suis passé dernièrement aux Douanes de Saint-Quentin", a lancé Daniel Gibaru.
Une réception à laquelle assistait également Jean-Louis Felbacq, vice-président de la fédération des fêtes en Avesnois-Thiérache, dont est membre la fête du pissenlit d’Ohis. Celui-ci a mis en avant l'enthousiasme et la vigueur de Daniel Gibaru.

Rendez-vous le 7 avril

Les bouteilles ont alors été débouchées, les verres, offerts pour cela par la Brasserie des Fagnes, ont été remplis. La dégustation a alors commencé. Avec quelques morceaux de tartes aux maroilles et de pizzas, toutes fabriquées par les commerçants d'Ohis.
Une belle initiative, qui annonce la fête du pissenlit, le dimanche 7 avril, dans cette même salle polyvalente d'Ohis.




Christian Legrand a ouvert la soirée. Daniel Gibaru a precisé les bienfaits de l'Akène. Jean-Louis Felbacq a salué l'initiative de Daniel Gibaru.

Le public est venu nombreux ce soir là. Jean-Luc Pargneaux était de la fête. Marc Bession, c'est lui qui a trouvé le terme de Bierre'nissage.


Les filles ont consommé avec modération. Les garçons ont consommé, peut être avec un peu moins de modération. Les femmes en plein service : Jeanine, Nadine et Brigitte.




Bière'nissage de l'Akène le 22 février à 19 heures

Le terme est nouveau, il a été inventé par le Grand maître, Daniel Gibaru. Le Bière'nissage de la nouvelle bière, l'Akène, est prévu le vendredi 22 février à 19 heures, à la salle polyvalente d'Ohis. L'Akène constitue donc le nouveau produit de la fête du pissenlit 2013, qui aura lieu le dimanche 7 avril, dans cette même salle polyvalente d'Ohis.

"En 2014, il y aura sans doute une bière bio, ou pisse-rouge", affirme Daniel Gibaru, à propos des nouveautés. Par ce Bière'nissage, le président et la confrérie du pissenlit veulent innover, toujours innover ... "Il y aura aussi ce jour-là des pizzas et des tartes au maroilles, confectionnées par les commerçants d'Ohis. Et, pour déguster cette bière unique, cette soirée est bien sûr ouverte à tous", continue le Grand maître.
Bière unique en effet l'Akène, car fermentée trois fois, il faut rappeler les caractéristiques de cette bière authentiquement ohissoise, c'est ce que fait toujours le Grand maître : "A 9°, l'akène est de fort caractère et de couleur ambrée aux reflets dorés, elle tient son intensité de sa fermentation à haute température. Ses arômes d'épices et son amertume soutenue développent en bouche un goût racé très prononcé, rappelant le terroir ohissois. Les fleurs de pissenlit sont récoltées dans la pâture du moulin, au pied du Fond des Rocques. L'akène, 100 % naturelle, sans additifs, sans produits chimiques, se déguste entre 8 et 10 degrés. »

Brassée à Mariembourg

L'Akène, qui est donc une "triple" (il y en a peu !), a été confectionnée à la brasserie des Fagnes à Mariembourg (Belgique), par le maître brasseur Luc Piron. Le jour de la fête du pissenlit, quelque 700 bouteilles capsulées en vert seront en vente, au prix de 5,50 euros (comme d'ailleurs toutes les bières en vente lors de la fête). Daniel Gibaru justifie cette augmentation de prix par le relèvement de taxes au niveau national. Et d'ajouter qu'il regrette cette dernière ... A noter que cette brasserie des Fagnes a offert une centaine de verres pour cette soirée dégustation.







Pissenlit et arts

Par ailleurs, cette fête du 7 avril verra le retour de l'institution Saint-Pierre, de Fourmies. Daniel Gibaru annonce la venue d'une vingtaine de commerçants au total, dont une artisan productrice de perles, de Villeneuve-Saint-Germain. "Il y aura également un orgue de barbarie et un chanteur ardennais, sans oublier la messe du samedi soir, avec la chorale des Trois-roses et au cours de laquelle la salade au lard sera bénie".
Daniel Gibaru ne cache pas que la fête du pissenlit devient aussi de plus en plus celle des arts.
Enfin, question médiatisation, un article dans la revue Pays du Nord est prévu. Même chose dans le magazine national Rustica, de début mars. Avant le 7 avril, Daniel Gibaru sera enfin l'invité des deux radios régionales que sont France-Bleu Picardie et France-Bleu Champagne-Ardenne.



La 12ème fete du Pissenlit se déroulera bien le dimanche 7 Avril 2013

Une "Coquille" s'est glissée dans le calendrier édité par les fetes du terroir thiérache avesnois.
La FFTAT annonce notre fête le 31 mars. Cette erreur vient de l'imprimeur mais malheusement 45000 dépliants sont déjà distribués.
La Confrérie du Pissenlit organisatrice de cette 12eme fête du pissenlit confirme donc bien la date du 7 Avril 2013.


L'akène nouveauté de l'édition 2013 de la Fête du pissenlit

« Toujours innover, telle est la démarche de la confrérie ». Pour Daniel Gibaru, la fête du pissenlit 2013, qui se déroulera le dimanche 7 avril, et organisée par cette même confrérie, le prouve une nouvelle fois. Et cela puisque la grande nouveauté de cette année consistera en la production d'une nouvelle bière, appelée l'akène. C'est quoi l'akène ? Le pissenlit possède par exemple des akènes plumeux. Il s'agit en effet des petites « plumes » qui constituent la graine de la fleur de pissenlit. Et qui s'envolent au premier souffle…
Dans quelques jours, l'akène sera brassée à Mariembourg, en Belgique, à la brasserie des Fagnes, par le maître brasseur Luc Piron. Comme à chaque fois, ce dernier y mettra tout son cœur et y inclura quelques secrets… « Il y aura une dégustation à Ohis », précise encore le grand maître, Daniel Gibaru.
Il continue : « A 9°, l'akène est de fort caractère et de couleur ambrée aux reflets dorés, elle tient son intensité de sa fermentation à haute température. Ses arômes d'épices et son amertume soutenue développent en bouche un goût racé très prononcé, rappelant le terroir ohissois. Les fleurs de pissenlit sont récoltées dans la pâture du moulin, au pied du Fond des Rocques. » Avant de conseiller : « L'akène, 100 % naturelle, sans additifs, sans produits chimiques, se déguste entre 8 et 10 degrés. » Une bière qui sera toute de vert capsulée.
Mille bouteilles seront produites en prévision de la fête de ce printemps. L'akène complétera donc la blanche et la blonde. À consommer évidemment avec modération.
À terme, suivant un cahier des charges obligatoirement rigoureux, est envisagée également la production d'une bière bio.



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